Description du projet
Ce projet vise à mettre à disposition des terres publiques (ou privées) pour des personnes souhaitant se lancer dans une activité de maraîchage.
Dans un premier temps, il y a lieu d’identifier les terres disponibles et adaptées pour ce type d’activité. Ensuite, identifier les personnes ou les structures désireuses de se lancer dans une activité de maraîchage : il pourrait s’agir de particuliers, mais aussi d’un collectif plus ou moins bénévole (sur le modèle d’Ekikrok à Gembloux). Pour pouvoir bénéficier de la mise à disposition des terres, les candidats identifiés seraient invités à développer leur activité sous forme de pratiques agricoles respectueuses de l’environnement (agriculture raisonnée, agriculture durable, agriculture biologique, agriculture paysanne…). Le projet pourra ensuite se développer par un soutien à la transformation et à la vente des produits en circuits court (marché locaux, petite épicerie de village, vente à la ferme, via une coopérative…).
Trois pistes sont actuellement envisagées pour mettre des terres cultivables à disposition des porteurs de projets souhaitant se lancer dans une activité de maraîchage.
Les porteurs de projets peuvent être soit des citoyens de la commune de Lincent ou d’autres communes désireux de s’orienter ou de se réorienter vers le maraîchage, soit un collectif sous forme d’ASBL ou autre, soit encore des agriculteurs désirant développer une activité plus locale et plus respectueuse de l’environnement. La pratique de cette activité pourra se faire soit de manière professionnelle soit en tant que loisir plutôt activité complémentaire (voir notamment l’exemple du jardin communautaire dans le domaine de l’ancienne buvette de Lincent).
Des terrains pourraient être mis à disposition d’agriculteurs désireux de se lancer dans des productions alternatives telles que de la culture bio, de l’horticulture, du petit élevage, des petits fruitiers… dans l’optique de développer des productions à écouler localement.
Dans un premier temps, il y a lieu d’identifier les terres disponibles et adaptées pour ce type d’activité. Ensuite, identifier les personnes ou les structures désireuses de se lancer dans une activité de maraîchage : il pourrait s’agir de particuliers, mais aussi d’un collectif plus ou moins bénévole (sur le modèle d’Ekikrok à Gembloux). Pour pouvoir bénéficier de la mise à disposition des terres, les candidats identifiés seraient invités à développer leur activité sous forme de pratiques agricoles respectueuses de l’environnement (agriculture raisonnée, agriculture durable, agriculture biologique, agriculture paysanne…). Le projet pourra ensuite se développer par un soutien à la transformation et à la vente des produits en circuits court (marché locaux, petite épicerie de village, vente à la ferme, via une coopérative…).
Trois pistes sont actuellement envisagées pour mettre des terres cultivables à disposition des porteurs de projets souhaitant se lancer dans une activité de maraîchage.
- La première, la plus simple, est l’utilisation de terres agricoles communales ou propriétés du CPAS, qui pourraient a priori plus facilement être mises à disposition. Il y aura toutefois à dresser un relevé préalable des terrains effectivement disponibles à court terme, car un grand nombre de terres sont louées à des agriculteurs sous forme de bail à ferme.
- La deuxième piste serait de créer un partenariat avec des agriculteurs locaux qui pourraient louer une partie de leurs terres. Pour les agriculteurs les plus âgés, cela peut être une occasion de retrouver un repreneur.
- La dernière piste est une mise à disposition de propriétés privées (fonds de jardins, petites parcelles impropres aux grandes cultures…) via un système de convention à définir.
Les porteurs de projets peuvent être soit des citoyens de la commune de Lincent ou d’autres communes désireux de s’orienter ou de se réorienter vers le maraîchage, soit un collectif sous forme d’ASBL ou autre, soit encore des agriculteurs désirant développer une activité plus locale et plus respectueuse de l’environnement. La pratique de cette activité pourra se faire soit de manière professionnelle soit en tant que loisir plutôt activité complémentaire (voir notamment l’exemple du jardin communautaire dans le domaine de l’ancienne buvette de Lincent).
Des terrains pourraient être mis à disposition d’agriculteurs désireux de se lancer dans des productions alternatives telles que de la culture bio, de l’horticulture, du petit élevage, des petits fruitiers… dans l’optique de développer des productions à écouler localement.
Etat d'avancement
Ce projet n'a pas encore été activé.